« Quelle infortune pour vous, ô livres qui avez disparu si malencontreusement, si misérablement ! » ; vers non trouvé dans Martial, ni ailleurs.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 20.