À Charles Spon, le 30 septembre 1650
Note [3]
« j’acquitte ce que je dois, et ce que j’acquitte, je le dois même encore » ; saint Augustin (Lettres, cxciii) :
Proinde, domine frater, mutuam tibi caritatem libens reddo, gaudensque recipio : quam recipio, adhuc repeto ; quam reddo, adhuc debeo.[C’est pourquoi, seigneur mon frère, j’ai du plaisir à vous rendre les devoirs de la charité et à en recevoir de vous les témoignages : ce que je reçois de vous, je vous le redemande encore ; ce que je vous rends, je vous le dois toujours].