« c’est faux » : écrit dans la marge par Guy Patin, qui a rayé le passage entre accolades.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 7 mai 1658, note 3.