À Charles Spon, le 8 janvier 1650
Note [33]
Guy Patin revenait sur ce qu’il avait déjà écrit dans sa lettre à Charles Spon du 3 décembre 1649 (v. sa note [19]) : faut-il y voir une marque d’orgueil flatté, ou, ce qui est bien plus précieux, le secret espoir que ses lettres seraient un jour publiées (et donc une permission implicite de ce faire) ?