« preuve la plus certaine d’une fièvre hectique [v. note [8], lettre 98], cette putréfaction des viscères est à la fois opiniâtre et mortelle. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 25 janvier 1661, note 6.