À Johann Caspar I Bauhin, le 4 janvier 1648
Note [6]
Guy Patin était parfaitement au courant de tous les préparatifs de cette nouvelle édition puisque c’était Charles Spon, son ami et correspondant assidu, qui en assurait la supervision médicale (v. entre autres les lettres du 7 février et du 22 mars 1648).