À Sebastian Scheffer, le 6 mars 1664
Note [7]
Ce texte n’est pas une lettre, mais un court mémoire que Guy Patin a placé là dans ses brouillons pour garder la trace d’une nouvelle qui le frappait de stupeur et le peinait profondément.
Les passages en italique immédiatement plus haut et plus bas sont en français dans le manuscrit.