De Charles Spon, le 5 mars 1658
Note [7]
Charles Spon pouvait faire allusion à la bure (burra en latin) des moines, ou au conte du « moine bourru » : fantôme imaginaire, « lutin qui, dans la croyance du peuple, court les rues aux Avents de Noël et qui fait des cris effroyables » (Furetière). La même source donne à l’adjectif bourru le sens de « bizarre, qui ne veut point voir le monde, qui a des maximes extravagantes ; c’est un esprit bourru qui ne se laisse gouverner par personne ».
V. note [8], lettre 513, pour la friponnerie du moine chartreux dénommé Boquet.