« pendant toute la décrue de la maladie des bouillons rafraîchissants faits des meilleures viandes, avec de la tisane ordinaire et la décoction de salsepareille [v. note [4], lettre 220]. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 15 avril 1661, note 9.