À Claude II Belin, le 4 novembre 1631
Note [8]
Les deux dernières thèses quodlibétaires assez récemment disputées à Paris sur ce sujet étaient :
Étant donné son estime pour le candidat et pour le président, celle que Guy Patin ne donnait qu’à ses amis devait être la première ; mais il avait été l’un des neuf examinateurs de la seconde.