À Claude II Belin, le 2 janvier 1632
Note [3]
« qu’il est ce qui se trouve chez le poète : “ Jusqu’à présent je t’ai fait de marbre, c’est tout ce que j’ai pu ; mais si mes brebis sont bien fécondes, tu seras d’or ” » (Virgile, Bucoliques, églogue vii, vers 35‑36).