À Claude II Belin, le 27 avril 1632
Note [11]
Tout au long de sa correspondance, Guy Patin a fait preuve d’une inimitié de principe à l’encontre des moines, de quelque ordre qu’ils fussent, comme étant soumis à l’autorité du pape, et surtout, comme mendiant des aumônes en échange d’indulgences qu’il jugeait illusoires ; ce qui le rapprochait des racines mêmes de la Réforme protestante de Martin Luther (v., entre autres, la note [7], lettre 31).