À Claude II Belin, le 4 janvier 1633
Note [9]
« que ces ignobles vautours s’occupent donc de leurs affaires ».
Claude ii Belin avait donc montré au « petit libraire de Troyes » la lettre (datée du 27 avril 1632) où Guy Patin raillait Cottart, son collègue : qu’il était « bien fin et rusé », et grand fourbe (v. note [15]). Loin d’être embarrassé par l’indélicatesse de son correspondant, Patin lui servait hardiment une autre charge contre les marchands de livres. Fallait-il que Patin accordât de l’intérêt – sans doute bibliomane – à Belin pour supporter ses maladresses, et ce qui ressemble fort à de la bêtise plutôt malveillante !