À Claude II Belin, le 28 mai 1635
Note [10]
Dans les périodes de menace et de troubles, le guet de Paris renforçait la garde des rues et des portes en faisant appel aux milices bourgeoises des 113 quartiers de la capitale. Ces compagnies ou régiments civils portaient le nom de colonelles ; elles étaient menées par le quartenier, assisté de ses cinquanteniers et dizainiers.
V. note [53] du Borboniana 4 manuscrit, pour le chevalier du guet, qui dirigeait la garde de Paris.