À Claude II Belin, le 13 janvier 1639
Note [16]
V. note [11], lettre 44, pour l’empereur Ferdinand iii, roi de Hongrie. Tiers parti « se dit des entremetteurs, des experts, des surarbitres. Ces deux parties plaidaient, un tiers les a accommodées. Ils avaient l’épée à la main, un tiers s’est mis entre deux qui les a séparés. Voilà des rapports qui se contredisent, il faut qu’il y ait un tiers nommé d’office. Quand deux arbitres sont de contraire avis, on leur donne pouvoir de nommer, de prendre un tiers pour surarbitre » (Furetière).