À Claude II Belin, le 26 décembre 1640
Note [9]
« Dieu aussi y mettra fin [Virgile, Énéide, chant i, vers 199], et peut-être une corde que méritent bien les fauteurs de tant de désordres. » Les mots entre crochets, ici et plus bas, sont des lacunes du manuscrit qui ont été reconstituées.