À Claude II Belin, le 4 août 1642
Note [1]
La proximité inhabituelle des quatre dernières lettres et de celle-ci traduit l’extrême préoccupation de Guy Patin pour la santé de Sébastien Belin, jeune frère de Claude ii, dont il avait la charge à Paris : 18, 28, 30, 31 juillet, 4 août.