À Charles Spon, le 16 novembre 1643
Note [30]
Dans son édition critique des œuvres de Rabelais (Amsterdam, Jean Frédéric Bernard, 1741), Jacob Le Duchat a utilisé cette anecdote de Guy Patin pour illustrer une phrase du Pantagruel (livre v, chapitre xxi), « Et m’affermait [m’assurait] que si en l’état monacal ils [les malades cachectiques] n’engraissaient, ne [ni] par art, ne par nature, jamais n’engraisseraient » (tome 2, pages 238‑239), avec ce commentaire :
« Ce conte que G. Patin faisait à Charles Spon, dans une lettre du 16 novembre 1643, suppose, à mon avis, que l’avocat qui osa conclure ainsi était huguenot. » {a}
- Ce qu’ont repris Esmangart et Johanneau dans leur Rabelais de 1823 (tome 8, page 52), mais en prénommant Patin Guillaume.