À Charles Spon, le 29 avril 1644
Note [44]
« et toutes les nouveautés plaisent. » La plupart des livres médicaux que Guy Patin recommandait à Charles Spon, à l’intention du libraire lyonnais Pierre Ravaud, étaient des traductions en français propres à séduire les chirurgiens, qui prisaient la nouveauté, mais ne lisaient guère le latin, et encore moins le grec.