À Henri Gras, le 24 septembre 1648
Note [3]
Dans les « Médicaments officinaux », le chapitre xxxvi du livre i, De Sena [Le Séné], est formé de 12 courts paragraphes numérotés concernant le séné. Le cinquième commence par ces deux phrases :
Præter hæc, vim habet purgandi per inferiora, quam plerique ad stuporem usque extollunt, adeoque dare volunt sine corrigentibus. Ego vero expertus sum, et ante me alii, esse insigniter flatuosam.
[En outre, il purge puissamment par le bas, ce que la plupart des médecins vantent jusqu’à s’en rendre stupides et au point d’en vouloir donner sans rien pour l’atténuer. Dans mon expérience, à vrai dire, et comme d’autres avant moi, je l’ai trouvé remarquablement venteux].