À Charles Spon, les 19 et 22 octobre 1649
Note [16]
« la pérégrination [voyage à l’étranger] est une turbulente, et même souvent une inutile agitation du corps et de l’esprit. » Adaptation d’une pensée de Sénèque le Jeune (Lettres à Lucilius, épître ii, § 1) :
Non discurris nec locorum mutationibus inquietaris. Ægri animi ista iactatio est.
[Tu ne cours pas çà et là, et ne te jettes pas dans l’agitation des déplacements. Cette mobilité est d’un esprit malade].