« mais je m’égare ». Guy Patin avait dit tout ce que Charles Spon pouvait écrire de flatteur à son sujet (dans l’épître dédicatoire en question).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 décembre 1649, note 36.