À Charles Spon, le 10 janvier 1650
Note [3]
« Est-ce parce que la Nature, soulagée par le bienfait de la saignée, a facilement surmonté ce qui subsistait de l’empoisonnement ? ou parce qu’un scorpion de cette espèce était dépourvu de venin ? ou parce que l’emploi des thériaques et alexipharmaques de cette sorte dans ce genre de blessures n’est ni aussi sûr, ni aussi nécessaire que beaucoup le pensent ? »