« et le voici à ce point soulagé qu’on juge que quelque dieu lui a prodigué sa médecine, et il aura bientôt cessé d’être essoufflé. »
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Lettre de Guy Patin à Charles Spon, le 4 février 1650, note 36.
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(Consulté le 30.01.2023)