« le trait mortel reste fiché dans son flanc » (Virgile, Énéide, chant iv, vers 73).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 mars 1650, note 46.