Rien dans les lettres de Guy Patin n’aide à savoir quel mariage, scellé à Paris au début de 1642, il pouvait bien dire ici avoir été si heureux pour lui.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 août 1650, note 34.