À Charles Spon, le 16 août 1650

Note [5]

« Se sentir encore du maître ès arts » était ici avoir encore la fraîcheur et la naïveté, un peu niaises, du jeune philiatre (étudiant en médecine) sans expérience des ruses du métier.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 août 1650, note 5.

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(Consulté le 10/05/2024)

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