À Claude II Belin, le 6 septembre 1650
Note [3]
« Si quelque veine de vertu ancestrale vivait encore en nous » ; pudique transformation de Perse, blâmant les mauvais vers de ses contemporains (Satire i, vers 103‑104) :
Hæc fierent si testiculi vena ulla paterni
viveret in nobis ?[Feraient-ils ça si survivait en nous quelque vigueur des couilles qu’avaient nos pères ?]