À André Falconet, le 4 novembre 1650
Note [1]
« Grâce aux amis, les jours heureux sont embellis et les jours contraires sont soulagés » ; libre adaptation et interprétation d’un passage de Cicéron (fin de la lettre 13, à Lucceius, livre v des Lettres familières) où il évoque les consolations de la philosophie par-dessus celles de l’amitié :
« Or donc, comme tu m’y exhortes, je me détacherai, tant que je pourrai, des chagrins et des tourments, et tournerai mon esprit vers ce qui embellit les jours heureux et aide à passer les jours contraires. » {a}
- ad ea, quibus secundæ res ornantur, adversæ adiuvantur.