À Charles Spon, le 2 août 1652
Note [11]
« On dit qu’on met la nappe quand on reçoit la compagnie chez soi lorsque les autres apportent de quoi manger, et quand on fournit seulement le couvert, le bois, la chandelle et autres menues nécessités. L’hôte qui met la nappe est toujours le plus foulé [incommodé]. On dit aussi d’un pays plein et abondant dans lequel on met des troupes en quartier, que c’est lui qui met la nappe » (Furetière). « On dit en menaçant quelqu’un, qu’il en paiera les pots cassés » (ibid.).