À Charles Spon, le 2 août 1652

Note [47]

« On dit qu’un malade a reçu tous ses sacrements pour dire qu’il a été confessé, communié, et qu’il a eu l’extrême onction, qu’on l’a assisté de tous secours spirituels et corporels » (Furetière). Le sacrement de la paix est à comprendre comme le droit de mourir en paix.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 2 août 1652, note 47.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0292&cln=47

(Consulté le 26/04/2024)

Licence Creative Commons "Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.