À Charles Spon, le 2 août 1652
Note [47]
« On dit qu’un malade a reçu tous ses sacrements pour dire qu’il a été confessé, communié, et qu’il a eu l’extrême onction, qu’on l’a assisté de tous secours spirituels et corporels » (Furetière). Le sacrement de la paix est à comprendre comme le droit de mourir en paix.