« Un cheval est tendre aux mouches pour dire qu’il les souffre impatiemment » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er novembre 1652, note 3.