À Charles Spon, le 7 mars 1653
Note [16]
« autant qu’il en est venu chez moi ».
Charles Spon avait ici meilleure mémoire que Guy Patin qui disait dans la lettre qu’il lui adressait le 21 avril 1643 (v. note [9], lettre 80) avoir rencontré « le jeune Pons » (Claude Pons, petit-fils de Jacques, tous deux agrégés au Collège des médecins de Lyon). La fin du paragraphe laisse à penser que Pons avait pu rapporter à Spon une petite aigreur que Patin lui avait confiée sur le compte de son ami lyonnais.