À Charles Spon, le 7 mars 1653
Note [25]
« à cause de trois ou quatre fripons qui subsistent. » Tout le début de ce paragraphe a été repris en abrégé dans une lettre, datée du 26 août 1654, prétendument destinée à Charles Spon dans l’édition Bulderen (lxxxix, tome i, pages 241‑242) et à André Falconet dans l’édition Reveillé-Parise (ccccxxvi, tome iii, pages 37‑38).