Peut-être une allusion à la fauconnerie où l’on appelle gorge chaude « la viande chaude qu’on donne aux oiseaux du gibier qu’ils ont pris » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 juin 1653, note 5.