Dieu devra leur en être reconnaissant (restera en dette envers eux) : « Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons beau travailler, Dieu ne nous en devra jamais de reste » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 septembre 1654, note 4.