« par la seule et unique saignée, le poumon peut se vider et se libérer d’un si grand infarcissement, et de l’afflux d’une si grande quantité de sang. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er décembre 1654, note 25.