« par la louange des pharmaciens dont il est l’infâme esclave ».
V. note [4], lettre 384, pour le féroce sonnet sur la mort de Jean (ou Antoine) Guérin.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 décembre 1654, note 15.