« pour leur plus grand malheur. » Quoiqu’intelligible, la phrase est mal construite, mais je l’ai fidèlement transcrite.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 30 août 1655, note 8.