« et ces nouveaux auteurs n’écrivent pas tant, semble-t-il, pour le bénéfice des malades que pour le profit des pharmaciens. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 30 novembre 1655, note 26.