« et qu’il ne contracte quelque putréfaction en sa substance propre ; ainsi marche-t-on à grands pas vers le repos éternel. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 30 novembre 1655, note 37.