À Hugues II de Salins, le 28 mars 1656
Note [3]
« Marquer une chasse : relever une parole, une circonstance dont on veut faire son profit » (Littré DLF).
Hugues ii de Salins, dans la précédente lettre, n’avait pas compris la railleuse allusion de Guy Patin à la « décoction apéritive de Rabelais », qui n’était composée que de clefs mises à bouillir dans un chaudron. Patin égarait pourtant ici son correspondant en lui indiquant le « deuxième livre » (Gargantua) pour y trouver cette explication : elle n’est nulle part dans les livres de Rabelais, mais se lit dans Le Moyen de parvenir de François Béroalde de Verville au sujet de Rabelais (v. note [4], lettre 436).