À Hugues II de Salins, le 22 mai 1657
Note [17]
« pour ne pas créer d’attraction vers la partie affectée ». Les hémorragies du post-partum mettent encore en péril la vie des accouchées. Saigner dans cette situation, avec l’idée qu’il faut rééquilibrer les humeurs et éloigner le sang de l’utérus : voilà une aberration que la médecine moderne ne permet plus de justifier et prohibe bien sûr formellement.