« par complaisance pour les pharmaciens, et pour pouvoir se gagner les bonnes grâces de cette engeance perfide ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 juillet 1657, note 39.