À Claude II Belin, le 6 décembre 1657
Note [11]
« On dit qu’un homme est devant Dieu pour dire qu’il est mort, et quand c’est un méchant homme, que c’est une belle âme devant Dieu » (Furetière). Guy Patin a presque toujours cyniquement prolongé cette locution, comme il a fait ici.