À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657
Note [10]
« ne rien faire ni engager qui soit au profit des apothicaires : que le salut du malade soit la suprême loi. Sur la saignée, comme le palladium {a} suprême de notre art, lisez Galien, dans les livres qu’il y a consacrés, Fernel, au deuxième livre de sa Méthode pour remédier, et Botal. Il y a même à lire chaque jour quelque chose de la Méthode de Galien. »