« du genre de ces sanguins qui se sont rendus émoussés et stupides, selon la doctrine de Galien, dans ses Commentaires d’Hippocrate sur la nature humaine. » V. note [7], lettre 440, pour le cotignac d’Orléans.
Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Lettre de Guy Patin à Charles Spon, le 28 décembre 1657, note 19.
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(Consulté le 06.03.2021)