« En cette maladie, dit-on, a été caché quelque chose de vénérien » ; François Guénaud était parti à Gand soigner le prince de Condé, qui souffrait de troubles urinaires (v. infra note [14]).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 5 février 1658, note 1.