À Charles Spon, le 26 avril 1658
Note [11]
« Chiens muets, incapables d’aboyer », Isaïe (56:10) :
Speculatores eius cæci omnes nescierunt universi canes muti non valentes latrare videntes vana dormientes et amantes somnia.[Nos gardiens sont tous aveugles, ils ne comprennent rien. Ce sont tous des chiens muets, incapables d’aboyer. Ils rêvent, restent couchés, ils aiment dormir].