À Charles Spon, le 16 juillet 1658

Note [18]

« par le droit de parenté et au nom du sang qui lui confère tout pouvoir ». S’il eut jamais la peste, le marquis de Richelieu n’y succomba pas : il mourut en avril 1662.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 16 juillet 1658, note 18.

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(Consulté le 18/04/2024)

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